Mikaijin Masamune, vampire pacifiste

Nom : Masamune

Prénom(s): Mikaijin

Age(s): 75 ans

Capacité spéciale(s):
Le corps de Mikaijin se régénère seul naturellement, grâce à sa nature de vampire et dispose d’une force physique ainsi que de sens plus développés que la moyenne des humains. Il maîtrise également l’eau, c'est-à-dire qu’il est capable de la faire bouger (en quantité raisonnable bien sûr) selon ses désirs, il arrive même à l’extraire d’autres corps si ceux-ci le permettent.

Elément: Eau

Race : Vampire

Description Physique :
De long cheveux bruns qui volent autour de son visage au teint pâle, contrastant avec ses yeux blanc, comme aveugles. Mikaijin se remarque de loin, en grande partie également à ses vêtements d’un rouge à faire pâlir d’envie un cardinal (enfin sauf pour le bandeau qu’ils considèreraient sûrement comme une importante faute de goût…). Quand à ses canines, elles sont plutôt discrètes et ne se remarquent pas au premier coup d’œil, mais plutôt au bout de cinq minutes de conversation active pour les moins perspicaces (ce qui a souvent causé un blanc dans la conversation…). Enfin, pour finir (alors que souvent on commence par là…), Mikaijin fait 1m79 pour 65kg

Description Moral :
Un fait plutôt troublant pour un vampire, Mikaijin est quelqu’un de pacifiste. Oui oui vous avez bien comprit, c’est un « gentil » vampire qui n’agresse jamais personne. Enfin, vous vous demandez aussi pourquoi non ? Et bien vous verez dans l’histoire… Bon pour en revenir à la description morale… Mikaijin est quelqu’un d’intelligent et d’attentif mais qui ne parle rarement, souvent parce qu’il trouve que cela n’en vaut pas la peine, surtout occupé à observer ce qui l’entoure. En effet, les préjugés vis-à-vis des vampires l’ont rendu plutôt méfiant et vous le verez toujours en train de regarder tout autour de lui, semblant jauger ceux qui l’observent.

Histoire :
Mikaijin est un vampire de naissance, fils de deux vampires, qui eux ont reçu leur nature d’être de la nuit par un sang pur. Il vit le jour trois ans après que ses parents se soient rencontrés et qu’une dizaine d’années environ après qu’ils soient devenus des vampires. Bien que les premières années qui suivirent sa naissance se passèrent plutôt bien, un évènement tragique eut lieu lorsque Mikaijin venait de voir son quinzième été. Un matin (enfin un début de soirée, cela dépend du point de vue), il découvrit ses parents dans une mare de sang, de leur sang, sans aucune autre forme de procès. En découvrant cela, le jeune vampire entra en une rage telle celle des démons du septième cercle et chercha pendant cinq ans les responsables de cela, semant mort et sang sur son passage. Il ne semblait plus rien avoir « d’humain ». Il ne pouvait pas être considéré comme vivant, ni mort. Il était comme un golem avec un unique but. Finalement, cette période tragique de sa vie prit fin comme elle avait commencé, dans un bain de sang et lorsque Mikaijin reprit enfin contact avec la réalité, qu’il vit ce qu’il avait fait, tout ce sang sur ses mains, son esprit fut deconnecté une nouvelle fois de la réalité, pour fuir ce qu’il avait fait, tout ce sang qu’il avait versé, uniquement pour se venger. Il ne savait même pas pourquoi ces gens avaient tué ses parents. Il ne leur avait rien laissé dire et les avait tués avant même qu’ils ne comprennent ce qui se passait. A chaque seconde, il revivait leur mort, à chaque seconde, il se revoyait en train de planter ses mains dans leurs cages thoraciques pour leur arracher le cœur, il se revoyait en train de faire jaillir leur sang par des dizaines de coupures. Sous le choc, il mit de longs mois avant de recommencer à avoir des pensées cohérentes et la première qu’il eut fut « plus jamais cela, plus jamais je ne serais un monstre ». C’était une promesse qu’il se faisait, il ne voulait plus faire couler le sang, pour ne pas revivre cela et pour qu’il ne le fasse pas vivre à d’autres. Il devint ainsi un des seuls vampires à devenir un être pacifique, ne se nourrissant que de sang animal et la seule arme qu’il portait était un sabre en bois attaché dans son dos et qu’il n’utilisait que pour bloquer les lames adverses lorsque cela s’avérait nécessaire.

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