Le nouveau monde

Le début de l'exode.

Le monde, air cosmique 10054, Carnet de bord du Capitaine Zero de L'Utopia, vaisseaux de guerre ayant pour mission de découvrirent une nouvelle planète pour y réfugier les victimes de la grande catastrophe. Cela fait un bout de temps que nous errons dans l'espace, les réacteurs du vaisseau son totalement détruite, pendant notre fuite de la grande explosion nos réacteurs on été touchés par les débris fumantes et dégoulinant de lave de la planète terre partant en miette. Oui voilà la causse de cette exode, la terre n'existe plus. Un Big bang si j'ai bien compris nos scientifique qui se trouve à bord, le problème et de maintenant trouver au plus vite une planète où loger et surtout des vivres nos armes à feu n'ont plus de munition, nous sommes dépourvut d'une total source de défense. Que va t-il nous arriver ? Seul l'avenir nous le dira, nous ne devons pas baisser les bras et continuer d'espérer, bien que nos radars ne fonctionne plus, les générateurs de secours faiblisse peu à peu, je continue d'espérer qu'un jour, un jour nous pourrons enfin mettre pied-à-terre. Les méandres de l'espace sont de plus de plus préoccupante, j'ai cru voir bien des formes se déplacer dans l'obscurité, rien qui puisse nous faire du mal j'espère. Mais où somme nous ? Le temps est totalement figé, ma montre à cesser de tourner, toutes l'électronique de bord fonctionne une fois sur deux, nous sommes sorties de notre trajectoire d'après les « scientifique » ce que ne le savions déjà il en remettre une couche pour nous briser le moral, fichus intellect, aux lieux de faire joujou ils ne peuvent pas donner un coup de main non ?

Un nouveau monde ?

Les passagers commencent à devenir fous, rester trop longtemps ici leur a fait perdre la tête, certain deviennent totalement taré, on a eu droit à deux meurtres, d'autre deviennent de véritable ange, cela en devient lassant à force de voir qu'ils veulent aider tout le monde, certain cache leur jeux, comme il cache leur couteau dans leur veste, d'autre se gêne pas de les mettre en évidence. Cela en devient extrêmement urgent de mettre pied-à-terre, encore un où deux jours dans ce vaisseau et on finit par s'entres-tuer, je ne tiens pas à ce que la race humaine finisse ainsi, entre mes mains, sur le pont d'Utopia. Une alarme retentit, que ce passe t-il ? Concentrant mes dernières force dans une course efreiner jusqu'aux poste de commandement, je me hâte d'aller au nouvel. J'entre dans la pièce et tombe sur les fesses devant le magnifique spectacle qui s'offre à moi, la voilà, enfin, la voilà, ce pourquoi on a tant erré, le nouveau monde, la voilà enfin notre nouvelle terre. Assis dans ma capsule de secours ou plutôt dans la boite de sardine, j'observe la planète qui se dresse devant nous. Sont teint rougeâtre n'est pas vraiment attirant, mais nous feront avec. Enfin si elle est habitable. La capsule passe dans la fumet rougeâtre et nous tombons nez à nez avec un décors magnifique, une sorte de cristal lumineux danser dans le ciel comme pour représenter le soleil, une étendu d'eau à perte de vue, une foret semblait avoir pris racine au loin, nous y voilà, le nouveau monde et totalement habitable, les capsules de survie se posèrent un à un près du notre, chaque nouvel arrivant semblait totalement absorber dans la contemplation des lieux. Les envies de meurtre s'étaient apaisés et une nouvelle vie prenait peu à peu forme, des villes voyaient le jour de si de là, l'humanité renaissait de ses cendres sur cette planète encore inexplorée et que l'ont nommé maintenant Utopia ...